MIROIR

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"TOUT CE QUI NE ME TUE PAS ME REND PLUS FORT"

jeudi 30 avril 2015

lundi 27 octobre 2014

mbayengom1.louga, vous avez un message de MBAYE NGOM

IQ Elite

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mardi 25 mars 2014

Mbaye Ngom en action dans "Xaar Yalla

Xaar Yalla («En attendant Dieu» en wolof) est un paradoxe


Xaar Yalla («En attendant Dieu» en wolof) est un paradoxe. Et on adore les paradoxes ! A la fois symptôme et remède de nos inextricables conflits Nord-Sud, la pièce du Sénégalais Younouss Diallo tire à boulets rouges sur les Blancs comme les Noirs, déterrent les indécrottables clichés qui empoisonnent notre rapport à l’Afrique, mais sans s’en extraire totalement. Tout comme la plateforme culturelle que Younouss Diallo a fondée au Sénégal - FOTTI - pour frotter les pratiques théâtrales locales à la démarche d’artistes internationaux, dont les Belges Fabrice Murgia, Armel Roussel, ou encore Agnès Limbos, sa pièce confronte les univers, en l’occurrence celui de jeunes Sénégalais jouant de la débrouille pour survivre et celui d’un Français, venu chercher un sens à sa vie en Afrique.
Avec une féroce ironie, les comédiens brossent des portraits sans concessions, depuis ce jeune père, Kroutchev, à la recherche d’un bélier pour célébrer le baptême de son enfant, quitte à se ruiner pour honorer un rituel musulman sénégalais, jusqu’à Giscard, jeune bobo d’Île de France traînant sa luxueuse mélancolie au milieu de la misère africaine. Il y a encore Castro ou Thatcher, qui jonglent avec leurs propres galères et contradictions, entre les petits boulots foireux. Dans un décor de pièces détachées pendouillantes, qui évoque à merveille leur quotidien fait de bouts de ficelles bricolées, les comédiens se livrent avec une farouche énergie, explosives boules de nerfs éructant leurs frustrations face à un pays englué dans ses difficultés.
Les saillies tranchent à vif sur le fatalisme ambiant, le joug des traditions et de la religion, l’entraide sacrifiée au sacro-saint règne de l’argent, et ce foutu sentimentalisme mal placé des Occidentaux, doublé de leur héritage colonial empoisonné. Tout y passe dans des dialogues puissants, qui tirent un peu vers la pièce à thèse, mais bousculent salutairement nos bonnes consciences pantouflardes. Mais c’est surtout la musique, en directe, de Guillaume Saurel qui lacère l’ensemble avec brio, extirpant la pièce de son folklore local pour l’emmener dans des ambiances électriques, comme des pulsions hallucinées se superposant aux battements de cœur déjà furieux de cette jeunesse enragée.
Il y a une force irrésistible dans ce portrait impétueux d’un Sénégal qui se bat avec la rage d’un bélier sur le point d’être aveuglément sacrifié. Et si l’opposition Blancs/Noirs y apparaît un peu dépassée, Xaar Yalla reste un périple sacrément décapant.
http://mad.lesoir.be/scenes/85706-xaar-yalla/
CATHERINE MAKEREEL

dimanche 13 octobre 2013

a qui la faute ?

-- QUE CE MESSAGE FASSE LE TOUR DU MONDE -- "il nous vient de la République Démocratique du Congo" Elles ont entre 12 et 16 ans, sont vierges et appréciées des militaires pour leur pureté. A 15 ans cette jeune fille connaitra sans doute son premier rapport sexuel dans une violence inouïe. A tour de rôle pendant plusieurs heures elle sera violée par ces hommes armées. Faite prisonnière, ils lui feront effectuer un voyage difficile dans la forêt jusqu'au moment où une autre jeune fille la remplacera. Avec un peu de chance elle ira retrouver ses parents avec des séquelles irréversibles où on trouvera son corps dans la forêt. C'est le quotidien des femmes en République Démocratique du Congo. Cinquante femmes sont littéralement violées toutes les heures, c'est à ce rythme que se diffusent des maladies graves sans possibilité d' accès aux hôpitaux, le pays est en guerre avec 4 000 000 de morts depuis 13 ans. Cela se passe dans un silence international de cimetière. Vous devez le savoir!!! " J'aime " + " Partage " = Lutte !!! Merci

mardi 24 novembre 2009

zoom sur:

Mbaye Ngom est un jeune artiste comédien né à Louga, une ville du Sénégal de 800 000 habitants au nord du pays.
Il est né le 20 janvier 1990. Il a fréquenté l'école coranique dans un quartier deshérité du nord-ouest de la commune de Louga, ensuite il débuta ses études à l'école élémentaire`artillerie nord et enfin il poursuit ses études moyen-secondaires au nouveau lycée de Louga.
Dés son séjour à l'école coranique, le petit talibé aspirait ses premiers signes d'un jeune artiste talentueux. Il sumulait des scénes théâtrales avec ses compagnons talibés d'oú on pouvait lire un véritable théâtre.
Ajourdhui Mbaye fait partie l'un des grands troupes de théâtre de la ville, MBAAR PENC, d'où il est membre fondateur.
Il a bénéficié une formation, création et professionnalisation en arts de la scène dans FOTTI cultures qui est une plateforme culturelle internationale et pluridisciplinaire de rencontre, de formation, de création, de recherche et de promotion d’artistes qui permet de structurer les échanges entre les artistes sénégalais et leurs homologues étrangers sur le long terme. Fotti a pour objectif général de contribuer à dynamiser la création artistique, notamment en arts de la scène sur le territoire sénégalais et dans la sous-région, d’oeuvrer à sa professionnalisation et de contribuer au développement local.